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Américains à Paris by Kathleen Adler
Américains à Paris  by Kathleen Adler




Américains à Paris by Kathleen Adler

The essays are brief and cover a few aspects of the french influence on american art in the nineteenth century and beginning of the twentieth.Like many catalogue writing, it lacks cohesion and a proper narrative arch as a whole but some important ideas are fleshed out by the different authors. It contains, however, a few scholarly essays on the matter. This book is really a catalogue of the paintings exhibited at the National Gallery during it's Americans in Paris exhibition. This book is a great companion book to "The Greater Journey, Americans in Paris" by David McCullough which is a bit short on illustrations of the american painters mentioned. Les essais sont suivis d'une biographie de chaque artiste et d'une liste illustrée et commentée des œuvres. Des textes plus courts, dus à David Park Curry, Rodolphe Rapetti et Christopher Riopelle, sont centrés sur les Expositions universelles de Paris, l'attitude des Français face aux visiteurs d'Outre-Atlantique et la participation des artistes américains à la constitution des collections américaines de peinture française moderne. Elles étudient les raisons de l'attirance des artistes pour Paris et s'interrogent sur leurs réactions et ce qu'ils ont retenu de leur expérience.

Américains à Paris by Kathleen Adler

Barbara Weinberg se penchent sur plus de 100 tableaux de l'exposition. Dans leurs essais abondamment illustrés, Kathleen Adler, Erica E.

Américains à Paris by Kathleen Adler

Il évoque le rôle des artistes américains à Paris, depuis le Salon des Refusés, en 1863, jusqu'à l'émergence d'un style pictural typiquement américain. Ce superbe ouvrage, qui rassemble des œuvres iconiques signées Sargent, Whistler, Mary Cassatt et Winslow Homer, rend également justice à des peintres peu connus en dehors des Etats-Unis.

Américains à Paris by Kathleen Adler

Rares furent les artistes américains qui restèrent indifférents à l'effervescence parisienne, et même ceux qui choisirent de ne pas faire leurs études dans la capitale française cherchèrent souvent la confirmation de leur talent auprès du public français. Surtout après les années 1860, il exerça son magnétisme sur les étudiants en art et les artistes américains, qui envahirent les ateliers de peintres comme Gérôme et Bouguereau, aspirant à exposer au Salon annuel et contemplant le déploiement de l'impressionnisme avec une fascination parfois mêlée d'horreur. Au XIXe siècle, Paris était le centre du monde de l'art.






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